Car il est bien loin le temps des cerises...
C'est une mauvaise habitude que nous avions coutume d'entretenir sur notre ancienne blogo-mère et qui semble perdurer sur la nouvelle : celle d'accumuler un retard inexcusable et perpétuel "de plus de 2 mois et des poussières". Je voudrais pouvoir me jeter la pierre, mais notre photographe officiel n'étant pas rémunéré, celui-ci aime se faire désirer, avec "une langueur qui pénètre mon coeur" et met ma patience à rude épreuve. Seule petite consolation pour conjurer cette longue attente, l'émerveillement de re-découvrir la suite de cette séance, qui nous rappelle un temps que les estivants ne peuvent pas connaître ---> Recherche désespérement l'été qu'on attendait tant, histoire de retrouver un peu "la douceur, le calme et la volupté" de nos après-midi au bord de l'eau, "sous le soleil exactement" et sans autre finalité que de se faire dorer (un peu) la peau, les os et les neurones...